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Clik here to view.L’activité des entreprises se numérise de plus en plus et de nouveaux services, techniques bien sûr mais aussi de mise en relation, d’analyse des utilisateurs, de marketing et de gestion en modifient les codes. Au risque de s’y perdre ?
Comme dans l’économie classique, les startups se développent en prospectant et en s’adaptant aux besoins de leurs clients, avec des fournisseurs et des salariés…Sauf que les effets réseau et data combinés que permet Internet accélèrent les processus, passent les frontières, amplifient les espoirs de marge…Exit le rendez-vous avec son banquier, on parle de lever des fonds, parfois en millions d’euros, et les métiers de la finance cristallisent les espoirs d’enrichissement brutal d’investisseurs pas forcément au courant de la réalité des risques pris avec leur argent.
Bien sûr, ce que les jeunes entrepreneurs montrent de leur activité est primordiale pour capter la confiance de ces derniers. D’autres métiers apparaissent donc, qui permettent d’étaler sur la toile des milliers de “leads” (prospects apparemment très intéressés par votre activité, mesurés en nombre de clics), de mieux écouter (espionner ?) tous ceux qui s’intéressent à vous et de “pivoter” (changer de proposition de produit).
@Frédéric Lasnier nous rappelle ci-dessous que même dans une économie nouvelle et pressée, les règles du business propre et durable s’appliquent ; la communication n’est pas forcément un gigantesque poker-menteur, les lois restent, les salariés, clients, fournisseurs et investisseurs se respectent. Comme avant !
«La différence entre les VC et les start-up, c’est simplement le moment où ils commencent à mentir…», par Frédéric Lasnier, CEO de Pentalog.
Source : Start-up vs. VC : mensonges, tromperies et nouvelles victimes | FrenchWeb.fr
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